C’était la rentrée scolaire 
officielle le 3 mars dernier, mais dans les faits, tout a commencé une ou deux semaines plus tard pour les enseignants et les élèves en raison de problèmes organisationnels dans les écoles et de nombreux autres facteurs.
Ce qui n’a pas empêché les volontaires de SKIP de fourmiller pour l’achat et la distribution des uniformes, des chaussures et des fournitures scolaires destinés aux 245 enfants inscrits au programme. Considérant les divers besoins des enfants et les problèmes inévitables inhérents aux fournisseurs, ce fut tout un défi!
Les nouveaux uniformes et les nouvelles chaussures ont été fabriqués par des entreprises locales, et les vieux uniformes ont été recyclés ou donnés. L’an prochain, nous soutiendrons la mise sur pied de groupements de mères qui produiront elles-mêmes ces uniformes, comme nous l’avons fait en 2005 et en 2006.
Au Pérou, l'éducation n’est toujours pas soutenue de façon suffisante par l'État. Ce sont les familles qui assument directement les frais d’'inscription des enfants, l’achat de matériel scolaire de base, l'électricité et la sécurité des bâtiments. Et comme si ce n’était pas assez, le système laisse la porte ouverte à toutes sortes d’abus. Il n'est pas rare qu’on demande aux enfants et à leurs familles de payer pour des articles inutiles à des prix excessifs. C’est pourquoi SKIP a fourni aux
enfants le matériel que nous jugeons nécessaire à la vie scolaire et à l’apprentissage. Nous avons aussi éépaulé les parents dans les démarches d’inscription, en payant les frais si nécessaire ou en négociant une réduction en leur nom. Récemment, le gouvernement a changé sa politique afin que les frais scolaires (y compris les salaires des enseignants et les frais liés aux infrastructures) soient techniquement assumés par l’État. Mais certaines contradictions subsistent.
Dans les semaines suivant la rentrée, les volontaires de SKIP ont rencontré les parents et visité les écoles de façon régulière afin de s’assurer que les enfants aient tout ce dont ils ont besoin pour partir du bon pied. Nous poursuivrons ces visites en cours d’année afin de mesurer les progrès des enfants et de faciliter les relations entre parents, enseignants et élèves.
Nous souhaitons remercier tous nos donateurs et parrains sans qui notre travail ne serait pas possible. Nous remercions tout spécialement les donations venues d´Irelande grâce à notre volontaire Joseph McCullagh.
officielle le 3 mars dernier, mais dans les faits, tout a commencé une ou deux semaines plus tard pour les enseignants et les élèves en raison de problèmes organisationnels dans les écoles et de nombreux autres facteurs.Ce qui n’a pas empêché les volontaires de SKIP de fourmiller pour l’achat et la distribution des uniformes, des chaussures et des fournitures scolaires destinés aux 245 enfants inscrits au programme. Considérant les divers besoins des enfants et les problèmes inévitables inhérents aux fournisseurs, ce fut tout un défi!
Les nouveaux uniformes et les nouvelles chaussures ont été fabriqués par des entreprises locales, et les vieux uniformes ont été recyclés ou donnés. L’an prochain, nous soutiendrons la mise sur pied de groupements de mères qui produiront elles-mêmes ces uniformes, comme nous l’avons fait en 2005 et en 2006.Au Pérou, l'éducation n’est toujours pas soutenue de façon suffisante par l'État. Ce sont les familles qui assument directement les frais d’'inscription des enfants, l’achat de matériel scolaire de base, l'électricité et la sécurité des bâtiments. Et comme si ce n’était pas assez, le système laisse la porte ouverte à toutes sortes d’abus. Il n'est pas rare qu’on demande aux enfants et à leurs familles de payer pour des articles inutiles à des prix excessifs. C’est pourquoi SKIP a fourni aux
enfants le matériel que nous jugeons nécessaire à la vie scolaire et à l’apprentissage. Nous avons aussi éépaulé les parents dans les démarches d’inscription, en payant les frais si nécessaire ou en négociant une réduction en leur nom. Récemment, le gouvernement a changé sa politique afin que les frais scolaires (y compris les salaires des enseignants et les frais liés aux infrastructures) soient techniquement assumés par l’État. Mais certaines contradictions subsistent.Dans les semaines suivant la rentrée, les volontaires de SKIP ont rencontré les parents et visité les écoles de façon régulière afin de s’assurer que les enfants aient tout ce dont ils ont besoin pour partir du bon pied. Nous poursuivrons ces visites en cours d’année afin de mesurer les progrès des enfants et de faciliter les relations entre parents, enseignants et élèves.
Nous souhaitons remercier tous nos donateurs et parrains sans qui notre travail ne serait pas possible. Nous remercions tout spécialement les donations venues d´Irelande grâce à notre volontaire Joseph McCullagh.
